Sport, science & performance
L’année 2015 en matière de science du sommeil
Solène
23 décembre 2015
Nos ancêtres avaient probablement le même rythme de sommeil que nous
Deux grandes études ont contesté l’idée que nos ancêtres dormaient de manière fractionnée jusqu’à la révolution industrielle avec l’apparition des lumières artificielles.
Le sommeil, clé de la mémoire et de l’apprentissage
Les phases de sommeil lent profond et paradoxal sont les clés d’une bonne mémorisation et d’un bon apprentissage. En effet le sommeil lent profond est indispensable à la construction de nos souvenirs et le sommeil paradoxal générerait une enzyme indispensable au processus d’apprentissage.
De nombreux neurones liés à notre sommeil
Comment notre cerveau fait-il pour nous endormir ou nous réveiller ?
Des neuroscientifiques ont abordé cette question et ont découvert que des connecteurs neurologiques étaient responsables de nos différentes phases de sommeil. Ils ont ainsi réussi à plonger des souris dans une phase de sommeil paradoxale en interagissant avec ces connecteurs par le biais d’une fibre optique diffusant un faisceau lumineux à ce connecteur.
Cette découverte est importante pour le traitement des troubles du sommeil souvent liés à un dérèglement des cycles du sommeil.
Dormir pour ne pas être malade
Se reposer en quantité suffisante apparaît comme le meilleur moyen de lutter contre les rhumes, grippes et autres infections hivernales. En effet, des scientifiques Allemands ont émis une théorie que le sommeil profond permet à notre système immunitaire de mémoriser les infections et ainsi de mieux les combattre. Une étude confirme également que le rythme de sommeil (la nuit, avec des horaires réguliers) a autant d’impact que le nombres d’heures passées à dormir sur la qualité de notre sommeil.
Source : www.wanwinkles.com
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